Turkestérone et ecdystéroïdes: les nouveaux stéroïdes naturels légaux?

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Turkestérone et ecdystéroïdes: les nouveaux stéroïdes naturels légaux?

Turkestérone et ecdystéroïdes: les nouveaux stéroïdes naturels légaux?

Encore appelé Human Growth Hormone, le HGH est une hormone de croissance. Il a souvent été utilisé par les sportifs pour stimuler la croissance des muscles. Cette hormone est censée permettre aux athlètes d’augmenter leurs musculatures sans fournir de grands efforts.

  • Le but étant de soigner des maladies comme l’hypogonadisme, l’anémie, l’ostéoporose et certains types de cancer.
  • Mais des chercheurs
    mettent en doute leur efficacité, ainsi que le « peu de
    risques » qu’ils semblent poser.
  • Un autre effet de la testostérone est de venir réguler la production de globule rouge, ce qui permet une meilleure oxygénation de l’organisme, ce qui va venir améliorer l’endurance ainsi que la récupération une fois l’entrainement terminé.
  • Sur 16 ingrédients mentionnés sur l’étiquette des suppléments commandés, 6 des ingrédients n’étaient pas détectables et 4 n’étaient pas présents dans la quantité indiquée.

Le complexe hormone-récepteur migre alors dans le noyau pour se fixer sur un site d’ADN bien précis , afin de modifier le génotype cellulaire. Ensuite, la synthèse d’ARN va être assurée grâce https://healthyway2fitness.com/ à la transcription de la séquence nucléotidique mutée, faisant intervenir l’ARNm. Puis, l’ ARNm obtenu quitte le noyau de la cellule et se combine à l’ ARN présent dans le cytoplasme.

Schéma de la Composition d’un muscle squelettique

Voila les fonctions les plus importantes pour un sprinteur que les stéroïdes apportent au muscle. Rappelons qu’à la fin de leur utilisation, les SAA sont éliminées de l’organisme par l’urine. La consommation de stéroïdes anabolisants chez les athlètes doit bien sur être accompagnée d’une bonne alimentation et d’un apport fréquent de lipides et de protéines dans l’organisme. Beaucoup d’utilisateurs débutent leurs cycles avec de faibles doses, augmentent progressivement la posologie, puis la diminuent.

En effet, les molécules stéroïdiennes stoppent les récepteurs à la cortisone situés sur la membrane des cellules et les bloquent. Ainsi les cellules musculaires conservent toutes leurs protéines car la cortisone produite par l’organisme, exerçant une action fortement catabolique (dégradante) ne peut assurer ses fonctions. La plupart des protéines, tel que l’oxandrolone, permettent également d’augmenter la synthèse de créatine phosphate (PCr).

Études in vitro et animales sur l’ecdystérone et la turkestérone

Sachant que la majorité des effets nocifs des xéno-androgènes
n’ont pas été découverts en étudiant les dérivés de la vitamine E
et de la nicotinamide, la pauvreté des recherches montrent qu’il
faut tout de même rester vigilant quant à l’utilisation de ces
derniers. Une information assez récente sur la tribule a été présentée par Sellandi en 2012. L’auteur a administré pendant 60 jours à des volontaires âgés de 21 à 50 ans l’extrait de plante.

Plus il y a de DHT et moins il y a de biodisponibilité de la testostérone. Il faut se rappeler que toutes les études ne confirment pas l’efficacité de la tribule. Cependant, sur la base montrant l’augmentation du taux de testostérone dans le corps humain, on peut affirmer que la plante est un booster efficace de la testostérone.

Certains médicaments destinés au contrôle de l’asthme contiennent également des glucocorticoïdes (voir ci-dessous) dont l’usage en inhalation est autorisé dans les mêmes conditions que les bêta-2 agonistes. Les médicaments destinés à dilater les bronches des personnes asthmatiques (famille des bêta-2 agonistes) sont interdits hors et pendant les compétitions. Un nouveau dispositif anti-dopage a été mis en place, suite à
la mise à jour des failles de la loi de 1989. Dans ce dossier nous n’étudions que les implications médicales du dopage, les implications politiques et économiques ayant donné lieu à de nombreuses publications.

Dans tous les cas, notre laboratoire vous conseille de vous informer systématiquement de la composition de chaque produit utilisé sur un cheval, qu’il s’agisse d’un traitement médical, des produits vétérinaires alimentaires complémentaires, ou encore des produits de soins. La plupart des personnes qui ont recours à ce genre de substance ont l’habitude de dire qu’ils ressentent des sensations de puissance et d’énergie dès la consommation. Toutefois, ces sensations ne sont rien comparées à la liste des effets secondaires auxquels les consommateurs de ces substances doivent s’attendre.

On soupçonne que des jeunes sportives ont subi une insémination
artificielle avant les compétitions importantes. Pour la caféine l’analyse d’un échantillon urinaire sera
considéré comme positive si la concentration en caféine dans l’urine dépasse
les 12 µgrammes par mL. Dans la 2ème partie de cet article nous verrons comment stimuler sa production naturelle de testostérone par l’alimentation et les compléments alimentaire.

Ce dispositif antibruit à plasma pourrait réduire au silence

Et c’est pas fini, d’après cette même revue d’études, il semblerait qu’aucun des ecdystéroïdes testés par les chercheurs (dont la turkestérone) n’ont présentés d’effets œstrogéniques, glucocorticoïdes ou androgéniques. Ce qui signifie que les ecdystéroïdes ne se lient pas aux récepteurs stéroïdiens « classiques ». Dans cette famille de produits, on distingue les stéroïdes anabolisants dits « endogènes » (qui sont naturellement fabriqués par le corps) et les stéroïdes anabolisants dits « exogènes » (ceux qu’on ne retrouve pas naturellement dans le corps). Les substances stimulantes agissent sur le cerveau et permettent d’augmenter la vigilance.

L’étude (2014) semble dire que l’ecdystérone, un ecdystéroïde, agit sur le corps en étant un agoniste du récepteur β-estrogène. La présence dans l’urine de salbutamol à une concentration supérieure à 1000 ng/mL ou de formotérol à une concentration supérieure à 40 ng/mL n’est pas cohérente avec une utilisation comme traitement médical de l’asthme. Les narcotiques sont des substances puissantes contre la douleur, comportant la morphine et ses dérivés.

Stéroïdes Anabolisants – Classe « S1 »

Le cannabis et ses dérivés (haschisch, marijuana, etc.) sont interdits en compétition. Il paraît paradoxal que des sportifs utilisent ce type de produits plutôt réputés pour provoquer une détente et diminuer la vigilance. Pourtant, utilisés à des doses très précises que maîtrisent bien les sportifs qui en abusent, les dérivés du cannabis diminuent le stress de la compétition, détendent les muscles et effacent la douleur. Chez l’homme elle stimule la production de la testostérone
permettant ainsi une effet anabolisant.